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 Andreas, the silent shadow (validé)

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Aurore Lockwood
Préfète en chef ~ Gryffondor & 8ème année
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Aurore Lockwood
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MessageSujet: Andreas, the silent shadow (validé)   Andreas, the silent shadow (validé) EmptySam 16 Aoû - 20:02

Andreas Hawkins
PRÉNOM • Andreas
NOM • Hawkins
SEXE • Masculin
ÂGE • 24 ans

GROUPE SOUHAITE • Rebelle & Broken Heart
____________________________
PRÉNOM • Aizah
ÂGE • 21 ½

VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • Régulière
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • Facebook
— PHYSIQUE —

» Gringalet n.m — Homme faible de corps, petit et grêle.
Ce mot a depuis toujours était tatoué dans la chair d'Andreas. D'aussi loin qu'il se souvienne, il a été un de ses seuls surnoms. Pas très doué en sport, il a toujours eu ce petit corps si fragile qu'on aurait peur de le briser en deux d'une simple étreinte. Mais ce n'est pas sa faute à lui s'il est né comme ça, vous savez. Les gens l'ont toujours blâmé pour sa maigreur, les gens dans la rue, ses camarades de classe, les médecins. « Manges-tu à ta faim ? ». Bien sûr qu'il mangeait à sa faim. Avant. Il est de ceux qui ne prennent pas de poids même s'il engloutissait trois tonnes de mauvaises choses. Mais il n'est pas anorexique. Juste un gringalet.

» Blondinet adj. — Petit garçon, petite fille aux cheveux blonds.
Un autre surnom qu'il lui fut donné, parce qu'il est petit et a les cheveux blond. La croissance n'a pas été de son côté. La dernière fois qu'il s'est mesuré, Andreas atteignait tout juste le mètre soixante-quinze et ses cheveux blond n'en faisaient qu'à leur bon vouloir. Sa tignasse est de ces indomptables, impossible à lisser, que ce soit au fer à cheveux ou à coup de gel voire de laque. Ses mèches défient les lois de la gravité malgré toute sa volonté. Cela dit, il faut ajouter que la couleur de ses cheveux s'accorde parfaitement à celle de ses yeux. D'un bleu saisissant, ils semblent presque irréel, tantôt brillant d'une étrange lueur, tantôt terne comme s'ils étaient sans vie. Ils illustrent parfaitement bien l'expression de « porte de l'âme ».

» Efféminé adj. — Se dit d'un homme qui a les caractères, l'aspect, les manières généralement attribués aux femmes.
Cela n'a jamais était voulu, comme bien des choses de son physique d'ailleurs. Ainsi, en effet, il s'avère qu'il a un physique plutôt... féminin. Il ne faut pas y voir là qu'il s'habille comme une fille, parce que l'on serait loin de la réalité, mais il n'est pourtant pas particulièrement masculin. Niveau vestimentaire, il s'habille toujours de façon très sobre, de manière à se fondre dans la foule, a effacer sa présence. C'est ses traits fins et son corps maigrichon qui lui avait valu d'autres moqueries encore, le comparant à une fille.

» Mignon adj. — Qui, dans son apparence menue, offre de la grâce et de la gentillesse.
Moins dans la moquerie, mais à la limite de l'être, Andreas a déjà était qualifié de mignon. « Tout ce qui est petit mignon. » Il n'a jamais trop su si c'était une autre forme pour se moquer de sa petite taille, mais il y avait aussi comme un petit compliment. Au moins, il n'était pas moche. C'est du moins comme cela qu'il a voulu le comprendre. Mais cela a aussi son côté dévalorisant pour un garçon. Parce qu'il n'est pas viril, il n'est pas musclé, il ressemble à une fille. Et c'est les filles qui doivent être mignonne. Peut-être qu'il aurait dû naître en tant que fille ? Mais on ne peut pas faire grand chose contre la nature. Il est comme il est.

— CARACTÈRE —

» Calme adj. — 1. Sans agitation ; paisible. 2. Qui manifeste de la maîtrise de soi, de la sérénité. 3. Qui fait peu de bruit.
Premièrement, c'est vrai, Andreas n'a jamais était de nature particulièrement turbulente. Deuxièmement, serein ? Oui, c'est aussi une partie de lui même, quant à sa maîtrise de soi, eh bien disons qu'il ne s'est jamais montré débordant, en fait, il pourrait même être considéré comme un passif né, jamais il ne viendra s'en prendre à quelqu'un, ce n'est pas dans son genre, il n'a jamais haussé la voix de sa vie et cela ne semble pas prêt d'arriver. Troisièmement, il ne fait pas forcément entendre sa voix, même quand il a l'impression qu'on lui arrache les entrailles. Parce que, ne pas inquiéter son monde, cela fait aussi partit de lui.

» Renfermé adj. — Replié sur soi, peu communicatif.
Andreas est une personne particulièrement renfermé. Si on le connait un tant soit peu, on peut voir qu'il ne parle jamais de lui, de ce qu'il ressent. Même quand il sourit, au final, il ne parle jamais vraiment, tout ce qu'il trouve à dire, c'est généralement des questions, sur comment vont les gens en face de lui, comment cela se passe dans leur groupe, etc. Décodé ses pensées n'est pas toujours des plus évident, lui qui se cache derrière un sourire factice. Il a construit comme une bouclier autour de lui qui le rend indifférent à toute moquerie, toute remarque désobligeante qu'on pourrait lui faire. Sa carapace le rend imperméable à presque tout, mais aussi aux contacts sociaux. En ces temps difficiles, plus que jamais, il a peur de s'attacher aux autres.

» Stratège n. — Celui qui connaît et qui applique les règles de la stratégie.
Andreas, de par sa nature peu bavarde, est devenu observateur. Ne s'impliquant que peu dans les affaires des autres, il les regarde d'un oeil objectif, apprend, et réfléchi dessus. Malgré sa faible sportivité, il était particulièrement doué dans ses études et notamment les sciences. Doté d'un esprit logique, il a une facilité toute particulière à résoudre les problèmes. Lors de l'invasion des zombies, sa bonne connaissance des lieux où il se trouvait à ce moment là lui avait permis de s'en sortir avec bon nombre gens sans rencontrer énormément de cadavre avant de se heurter à l'extérieur. Pour survivre, c'est indéniablement son meilleur atout, à défaut de pouvoir s'impliquer dans des combats physiques.

» Ombre n. — Personne ou d’une chose personnifiée qui a perdu les qualités, les avantages qui faisaient sa force, sa grandeur, son éclat.
C'est un terme qui lui va bien. Terni par la dureté de la vie, il ne conserve que peu d'espoir pour l'avenir. Malgré tout, il a décidé de survivre. Il se laisse porter, reste dans l'ombre des gens et se fond dans la masse. Il rend service là où il passe sans s'attacher à un lieu ou une personne. Il est la face caché du visible. Il prête son esprit à qui le lui demande. Son existence n'ayant plus de sens, il n'aspire plus qu'à être l'ombre de quelqu'un à défaut d'être la sienne, s'offrant à qui aura besoin de lui en espérant que peut-être cela donnera un nouveau sens à sa vie.

— HISTOIRE —

ACTE I
une vie monotone

« Arrêtez, vous me faite mal ! »
« Non mais quelle chochotte. Aller, laisse-toi faire, on veut juste s'amuser un peu avec toi. »
Les enfants ont toujours été les êtres les plus cruels. Alors qu'il n'avait rien demandé à personne, Andreas en a très vite fait les frais. Dès le jardin d'enfant, les autres garçons s'étaient passés le mot pour faire de son enfance un véritable enfer. Lorsque les surveillants s'absentaient, ils ne manquaient pas cette occasion pour lui tirer les cheveux, lui faire des couettes. Un jour, ils étaient même allé jusqu'à voler la petite robe d'une fille pour l'obliger à l'enfiler.
Jusqu'à ce qu'il rentre enfin au collège, ce fut un calvaire quotidien pour lui qui n'osa en parler à personne. Le reste de sa scolarité ne fut heureusement pas aussi agité, mais fut tout aussi pénible. Les enfants grandissent et passe à un stade au dessus. S'il ne fut plus malmené physiquement, les brimades doublèrent en intensité par des moqueries régulières. Blessé psychologiquement, Andreas mit beaucoup plus de temps à s'y habituer jusqu'à ce qu'il parvienne à construite sa petite bulle qui le rendit imperméable à tous les mots que l'on pouvait lui dire.
Son père disparu l'année suivante après son entrée au lycée. Ce fut sa période scolaire la plus calme, mais aussi la plus douloureuse, affecté par la perte de sa figure paternelle. Orienté vers le cursus scientifique, il commencera peu à peu à se faire des amis, peu, mais suffisamment pour lui apporter un peu de réconfort et de sourire. Il commença à avoir une vie plus douce et sereine durant la dernière année, appréciant de pouvoir réviser en compagnie d'autres personnes qui ne se préoccupaient pas de son apparence physique.
Lorsqu'il intégra une grande université d'économie, il pensait pouvoir tourner la page et s'orienter vers une vie qui lui serait encore un peu plus douce. Personne ne pouvait alors s'imaginer quel cataclysme aller s'abattre partout dans le monde.

ACTE II
une vie boulversée

Alors qu'Andreas brillait dans ses études, un matin comme un autre, il s'était rendu à son université à pieds, habitant à seulement dix minutes de là. Prenant des notes pendant les cours, il était allé rejoindre des amis au réfectoire pour prendre son repas avant la reprise des cours. C'est durant celui-ci que la vie de tous fut bouleversé. C'est peu avant treize heure que les premiers zombies pénétrèrent sur le campus universitaire, faisant monter la panique et causant d'innombrables victimes. Il ne fallut pas longtemps pour que dans la confusion, les infectés fassent entrer les morts-vivants dans le premier bâtiment universitaire.
Le désordre s'était installé en l'espace de quelques minutes, provoquant catastrophe sur catastrophe qui menaçaient tous les étudiants et personnels de l'université. La peur au ventre, Andreas s'était retrouvé paralysé face aux scènes d'horreur qui se jouaient dans la cour et si un de ses amis de l'avait pas secoué pour le réveiller, il était certain qu'il n'aurait pas était là pour raconter son histoire.
Revenant à la dur réalité, il fit son possible pour retrouver son sang froid et commença alors à chercher un moyen d'échapper au cauchemar. Profitant d'être au réfectoire, les gens encore présent purent suivre ses directives et prirent tous les ustensiles qui pourraient leur être utile pour repousser les zombies qu'ils seraient susceptibles de rencontrer. S'armant de couteau et autres objets tranchants, les yeux d'Andreas se posèrent sur un balais et s'empressa d'en prendre le manche, fixant avec les moyens du bord une grosse fourchette de cuisine pour se faire un trident de fortune.
Une fois équipé, il prit la tête du groupe qui commença à traverser les couloirs, empruntant l'itinéraire qu'il avait estimé le plus sûr. Par chance, le chemin qu'il leur fit emprunter était désert, son estimation de la progression des zombies s'avérant exact. Ils se retrouvèrent pourtant bloqué alors qu'ils étaient proche de la sortie de derrière. Ne pouvant rebrousser chemin, ils durent se frayer un chemin de force, mais la masse plus important qu'ils ne l'auraient cru réduisit d'un tiers leur effectif pendant que le reste du groupe parvint à trouver refuge dans la bibliothèque universitaire. Barricadant la porte avec tables et chaises, ils profitèrent de cette brève accalmie pour se remettre de leurs émotions et surtout de leur première rencontre avec des zombies. Chamboulé, Andreas sentait son cour battre à tout rompre dans sa poitrine tandis que le visage ensanglanté et déchiré d'un zombie était encore imprimé sur sa rétine.
Le bruit tambourinant des morts aux portes de la bibliothèque leur rappela cruellement qu'ils n'étaient pas complètement en sécurité ici. Se dirigeant alors vers la sortie de secours, le groupe s'apprêtait à repartir lorsqu'il eut une nouvelle idée. Se précipitant vers la réserve, il s'empressa de sortir toutes les caisses de stockage de divers magazines auquel l'université était abonné, appelant de l'aide pour aller plus vite. Allant ensuite fouiller le bureau de la bibliothécaire, il tomba avec joie sur deux gros rouleaux de scotch marron. Satisfait de sa trouvaille, il donna ses directives à tout le monde et à l'aide des magazines et du scotch, ils se firent tous une armure rudimentaire, couvrant bras et jambes qui les protègerait des morsures.
Ainsi protégé de façon rudimentaire, le groupe quitta enfin les lieux, descendant par l'escalier de secours. Mais ce n'est pas pour autant qu'ils étaient sortit d'affaire.
Les zombies avaient aussi atteint la cour extérieure et ils avaient besoin de la franchir pour atteindre le parking derrière le campus. L'horreur commença véritablement là. Malgré tous leurs efforts, malgré l'ingéniosité d'Andreas, ils n'étaient pas de taille pour tous survivre. A mesure qu'ils progressaient, ils perdaient de plus en plus de gens, ses seuls amis furent dévorés sous ses yeux sans qu'il puisse faire quoique ce soit pour les sauver. C'est avec une très grande difficulté qu'ils arrivèrent aux voitures. Plus qu'une quinzaine de survivant, ils se tassèrent dans le peu de voiture qu'ils purent avoir avant de s'échapper enfin de cet enfer.
Mais l'enfer était partout. Les survivants voulurent passer chez eux, retrouver leurs familles, mais le sang tachait tous les murs. Andreas lui-même pu voir sa maison, la porte grande ouverte et le corps de sa mère jonchant sur le sol, mourant à petit feu avant de devenir l'une de ces choses.
Ils eurent toutes les peine du monde à rejoindre les autres groupes qui avaient miraculeusement pu s'en sortir.

ACTE III
une vie à reconstruire

Tout était fini. Il n'y avait plus d'espoir, plus que des fous qui tentaient encore désespérément de survivre face à ce fléau interminable. Toute vie avait déjà quitté Andreas qui restait debout malgré lui. Le coeur en miette, il n'était plus que l'ombre de lui-même, ternis pas la mort de tous ceux qu'il avait aimé. Suivant la vague sans réel conscience, il esquissait parfois un faible sourire quand un survivant de son groupe de l'université venait lui parler, lui tenant un peu compagnie. Et quand il était seul, il attendait simplement que le temps passe, ne se nourrissant que le minimum nécessaire, se morfondant sur la mort des gens qu'il n'avait pas pu sauver.
« Si seulement je n'étais pas aussi faible... »
« Je peux t'offrir quelque chose qui pourrait t'aider. »
Surpris par une voix au milieu de son désespoir, en relevant la tête, Andreas ne reconnut rien autour de lui et une silhouette noire aux traits flous arborait un immense sourire.
« Voyons voir, qu'est-ce qui serait le mieux pour toi... Oh! Je sais, ce sera parfait. »
La silhouette sans visage se rapprocha alors de lui et se pencha à son oreille, lui murmurant alors quelques mots avant de disparaître totalement, le renvoyant à sa triste réalité. Il n'en avait pas très bien conscience à ce moment là, mais dans les ténèbres de son coeur, Andreas venait de faire un pacte avec le diable et en fit très vite les frais. Le don d'empathie ne fut pas le plus beau des cadeaux que ce contrat lui offrit. Il ressentait avec une netteté beaucoup trop violente les milliers d'émotions qui traversaient les esprits des survivants coincés avec lui. C'était comme si toutes leurs pensées se mêlées aux siennes, à ceci près que c'était leurs émotions. Il ne savait plus alors ce que lui il ressentait, son désespoir se mêlant avec une dizaine d'autres émotions, contradictoires ou non.
C'est peu après qu'une opération de grande envergure fut lancée pour échapper à l'enfer du dehors. C'est aussi comme cela qu'il prit conscience de la malédiction dont il fut accablé. Alors qu'il voulu aider les autres en désespoir de cause, il fit l'amère découverte du revers de son contrat. Andreas ne parvenait plus à toucher les objets électroniques sans que ceux-ci finissent par se casser ou tomber en panne après être resté qu'une dizaine de secondes entre ses mains. Pour lui qui avait toujours ressentit une affinité certaine pour les machines, sans émotions, qui ne pouvaient donc pas le blesser, il ne pouvait plus les toucher sans qu'elles ne meurent elles aussi.
Sombrant un peu plus, il se contenta dès lors d'aider à mettre en place des plans qui tiennent la route, s'occupant de tout ce qui était technique et supervision. Sans force physique, il ne put alors que regarder les travaux s'opérer et lorsque tout fut finit, il rejoignit le flot qui devaient les emmener en sécurité.
Et ce fut le cas. Du moins, ils purent vivre paisiblement pendant quelques temps sur une île vide de tout où il fallait tout reconstruire. C'était une île à son image, c'est ce qu'il avait pensé en arrivant, sauf que lui ne parvenait à rien reconstruire. Il se retrouva un peu malgré lui avec des gens partageant son désespoir. Il avait entendu parler que les autres les avaient surnommés "broken heart" et cela l'avait fait sourire faiblement. Le coeur brisé, c'est ce qu'il avait, en effet, et chacun avait sa malédiction.
Andreas ne chercha pas à s’impliquer plus que nécessaire dans la vie de l'île, rendant service à qui le lui demandait sans chercher à créer plus de lien. Il avait toutes les peines du monde à retrouver goût la vie. Pour lui, le cauchemar était loin d'être terminé, il ne se sentait pas encore suffisamment en sécurité. Il était indifférent à tout et même aux conflits qui naissaient, entre la milice et des opposants à leur politique tyrannique. Il n'aurait jamais imaginé un seul instant rejoindre cette force là un jour, il n'en aurait jamais eu l'idée si une main ne s'était pas tendue vers lui.
Tout le monde avait entendu parler d'un bateau au large de l'île. Lorsque tout un groupe de divers individus s'était rendu au port, on pensait alors qu'ils allaient accueillir d'autres survivants qui avaient trouvé par chance leur île, mais il n'en était rien. Le cauchemar reprenait simplement, recouvrant l'île d'un manteau de désespoir. Les zombies étaient à nouveau là, on ne sait pas comment, on ne sait pas pourquoi, mais il ne s’agissait pas d'humains dans ce navire. Depuis quand les zombies savaient navigué ? Comment ils avaient pu savoir qu'ils étaient là ? Alors qu'il ne sont censé être que des cadavres infectés parce on ne sait quel virus qui les abrutis.
La peur s'était à nouveau installé dans le coeur des gens. Mais c'est presque avec indifférence que Andreas accueilli la nouvelle catastrophe. Lui qui n'avait plus rien à perdre, il se disait que peut être cela aller être sa fin aujourd'hui. Cela aurait pu être le cas. Pas une seconde il ne chercha à survivre, il cherchait même plutôt à aller vers la mort. Il l'aurait très certainement atteinte si une main ne le lui en avait pas empêché. Ce fut sa première rencontre avec le chef des rebelles, Drevan Leonheart. Alors qu'il ne pensait qu'à rejoindre le port pour faire partie des pertes à déplorer, leurs chemins se sont croisés et c'est ainsi qu'Andreas s'est retrouvé à suivre le sien.
S'il ne l'avait pas rencontré, il n'aurait certainement pas échappé aux quelques zombies qui s'était éloigné de la horde pour suivre les survivants du groupe parti au port. C'est ensemble et bien en vie qu'ils retournèrent en ville le plus rapidement possible. Aidant les autres à fermer les principaux accès avec que le plus gros de la horde n'atteigne cet endroit. Ce n'est que lorsque cette pseudo-sécurité fut installé que la panique retomba progressivement. Il sentit alors redevable envers Drevan qui l'avait empêché de commettre l'irréparable et de fil en aiguille, ils firent peu à peu connaissance. Pour la première fois, il partagea avec quelqu'un d'autre ce qu'il avait vécu sur le campus de son université, comment il avait pu s'en sortir avec d'autres gens.
C'est comme cela qu'il fut invité à rejoindre les rangs des rebelles. Il disait pouvoir avoir besoin de lui et de son intellectuel, qu'il pourrait l'aider dans son combat et éviter d'autres morts inutiles. Alors Andreas avait prit cette main qu'il lui tendait, s'était relevé. L'espoir de pouvoir être utile à quelqu'un avait allumé une petite lumière dans les ténèbres qui allait le guider vers ce qui pourrait être une renaissance. C'est comme cela qu'il commença à s'impliquer dans la vie de l'île, à mettre ses capacités aux services des rebelles.


● Invisibilité : Capacité de se rendre invisible aux yeux des autres. xxx
● Sixième sens : Capacité qui permet de comprendre plus vite ce qu'il se passe. xx
● Empathie : Hypersensibilité aux états émotionnels et sentimentaux d'autrui. x
⁕ Anti-Technologie : Malédiction qui rend inutilisable toutes technologies touché à mains nues.
CODAGE PAR DITA | EPICODE
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